« La Russie a connu nombre de fléaux pendant son histoire. On pourrait rigoler en apprenant que le fait de prendre un selfie pourrait faire partie de la liste.
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Projection publique des 5 films de l’atelier, ce samedi 13 juin au cinéma Utopia d’Avignon ! Venez nombreux !
A l’invitation de l’Institut de l’image d’Aix-en-Provence, le jeudi 28 mai 2015, nous présenterons le projet La maison et le monde dans le cadre du séminaire « moi, le numérique et le monde » qui se propose d’interroger la culture numérique dans son rapport au cinéma.
Sortie aujourd’hui, aux Éditions de la Découverte, du livre Chez soi de Mona Chollet, qui aborde certaines questions que travaille le projet, en particulier celle de l’irruption du monde dans la sphère intime. Lire la suite…
L’enjeu de la journée était, pour chacun, de se dégager définitivement des thèmes, d’idées trop générales, pour nommer clairement les intentions, ce qui anime chaque projet, esquisser un mouvement et préparer un plan de tournage précis. La prochaine fois qu’on se retrouve, en mai, c’est pour le sprint final du montage. Certains groupes étaient plus avancés que les autres. Avec tous, nous avons affiné, fait le tri et posé les bases des tournages à réaliser. Une nouvelle fois, la journée s’est partagée entre temps d’échanges, de visionnage et travail sur les postes de montage.
Un déjeuner sur l’herbe 2.0 dans les jardins de Lisbonne (Pedro Ribeiro Simoes/Flickr/CC) vu sur Rue89
Sur Rue89, Xavier de la Porte publie une nouvelle contribution à la réflexion sur l’impact d’Internet sur nos vies, où le journaliste américain Clive Thompson analyse comment Internet a profondément changé notre façon de parler et de nous faire entendre.
Si vous n’avez jamais écouté un iceberg qui craquèle (dans la baie de Alice Hamna), le grondement d’un volcan (à la Réunion), le chant du Puffin de Scopoli (aux Açores), une symphonie stridente d’insectes (près de Sao Paulo), l’ambiance matinale du mont Seorak (en Corée du Sud), venez vous promener par ici :
Séance consacrée au dérushage des premiers tournages et à préciser le projet de chaque groupe. Les mines sont fatiguées, le concours blanc approche. On est bien content de retrouver Noëllie. Pendant que le café passe, on apprend le départ de Félix de la prépa (et donc de l’atelier). Surprise et fort regret mais on lui souhaite bon vent et réussite pour ce qu’il est parti construire.
L’atelier se met en route. Il fait très froid dehors. Dedans, face aux écrans, ça s’active, ça convertit, ça discute, ça prémonte, ça essaie, ça prend note, ça réoriente, ça creuse, ça affine. Les cinq groupes sont en travail sur leur station de montage respective. On passera la journée à regarder leurs propositions et à s’entretenir longuement avec chacun. Quelques réminiscences de cette intense journée :
écouter Pasolini sur France Inter à propos de Salo
